"Je suis noire de monde" - Alain Bashung - "L’Imprudence"

dimanche 13 janvier 2013

Persistances Rétiniennes...

Série "Persistances Rétiniennes..." - Elena FRANCULA 2009

10 commentaires:

  1. Sabaidi Elèna,
    Jolie toile, chambre vide, téléphone rouge, porte ouverte, une superbe réflexion pour la solitude,,,j'aime beaucoup.

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    1. Sabaidi Tia,
      Merci pour ton regard toujours sensible......
      Bise Elena

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  2. Je suis venue en passant par le blogue de Pierre B. et j'ai laissé un com chez lui à propos de cette oeuvre que je trouve très réussie!
    Bravo pour la qualité de votre travail et merci pour le partage

    ***
    Belle semaine****

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    1. Merci pour ce retour qui "donne vie" à l’œuvre....
      Elena

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  3. Une toile d'une belle intensité qui me fait penser au malaise, au mal-être que peut générer la solitude.
    Après un premier regard sur la simplicité d'une scène quotidienne, l'angoisse nous gagne lorsqu'en parcourant cette pièce impersonnelle on découvre la main sur le sol... Qui est-ce ? Que c'est-il passé ? Cette personne a-t-elle téléphonée ? A qui ?
    Comme pour les images du journal télévisé, ce tableau pose la question d'une information aseptisée et superficielle où l'on nous livre côte à côte un génocide et l'ouverture des soldes le tout encadré par deux publicités de lessives...
    Merci Elena...
    Belle journée,

    Pierre

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  4. Chère Elèna,

    C'est avec grand plaisir que je découvre ton blog. Bravo de t'être lancée dans cette aventure! J'ai aussi découvert pour la première fois ces deux toiles de la série Persistances rétiniennes! Elle m'ont fortement marqué et me rappelle l'univers "d'hotel room"... Encore bravo Elèna
    Aurélia

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  5. Coucou Aurélia!
    Merci pour ton message et bienvenue dans mon blog,effectivement le choix des"persistances rétiniennes" n'est pas un hasard....
    Bonne soirée bise Elena

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  6. C'est intéressant de noter comment chaque personne élabore sa propre fiction à partir d'une même image. La présence du téléphone sur le lit, me laisse plutôt penser à un amour non partagé. J'imagine bien le personnage tenter un ultime appel pour convaincre l'élu(e) de son coeur puis dans un geste désespérer en finir avec cette vie absurde. Tu donnes très peu d'éléments sur ce qui s'est réellement produit, assez pour que chacun y projette ses propres interrogations. Je suis content de le revoir, c'est un de mon préféré.

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  7. Scène de crime ou simple main tendue au destin pour vivre la suite...
    La peinture n'est pas faite pour nous rassurer mais bien pour nous questionner.

    Amicalement

    Roger

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  8. RESTE ÉTERNELLEMENT ÉNIGMATIQUE ??? UN APPEL A L.AIDE OU J.ARRIVE TROP TARD.
    Bravo Lna

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